L' IMPENSE INFORMATIQUE (Au miroir du quotidien "Le Monde" - 1972/1980) 675 p., 2609 Ko.
* Introduction générale du Titre I. p.15.
* PARTIE I. OÙ L'INFORMATIQUE N'EST PAS UN CONSTRUIT
* Chapitre 1. Les mécanismes de <<mise en évidence>>. p. 26.
Introduction, p. 27.
Section I. Assurer une présence, p. 27.
Section II. Passé non composé et présence du futur.p. 52.
Conclusion du Chapitre 1.p. 75.
* Chapitre 2. L'idéologie technicienne. p. 78.
Section I. Valorisation de la technique pour elle-même.p. 81.
Section II. Le tiers exclu. p. 99.
Conclusion du Chapitre deux. p. 114.
Conclusion de la première partie. p. 117.
* PARTIE II. OÙ L'INFORMATIQUE N'EST PAS ABORDÉE EN TERMES SOCIOLOGIQUES MAIS MORAUX.
* Chapitre 3. La neutralisation. p. 120.
Introduction.p. 123.
Section I. Technique neutre et société. p. 123.
Section II. La technique neutre et l'<<homme>> responsable. p. 131.
Section III. La technique active et L'homme passif. p. 142.
Section IV. L'anthropomorphisation. p. 153.
Conclusion du Chapitre 3. p. 162.
* Chapitre 4. L'ambivalence. p. 166.
Introduction.p. 167.
Section I. L'ambivalence d'alternative. p. 169.
Section II. L'ambivalence de réversibilité.p. 186.
Section III. Sortir de l'ambivalence morale ? p. 197.
Conclusion du Chapitre 4 p. 204.
* Conclusion de la partie 2 et du Titre I. p. 206.
* Introduction générale du Titre II. p. 210.
* PARTIE III. L'INFORMATIQUE ET LA GESTION DE LA COMPLEXITÉ : LA DESCRIPTION DE LA COMPLEXITÉ.
* Chapitre 5. La Rationalisation et la <<Control revolution>>. p. 232.
Introduction. p. 233.
Section I. La Rationalisation. p. 239.
Section II. Rationalisation et performance. p. 247.
Section III. Rationalisation et connaissances. p. 257.
Section IV. Rationalisation et contre-point. p. 262.
Section V. Rationalisation et impensé du formatage. p. 266.
Conclusion du Chapitre 5. p. 272.
* Chapitre 6. Le <<formatage généralisé>> et contrôle. p. 275.
Introduction. p. 276.
Section I. Le <<formatage généralisé>>.p. 277.
Section II. L'informatique et le contrôle. p. 398.
* Conclusion du Chapitre 6 et de la 3ème partie. p. 319.
* PARTIE IV. LA RECONNAISSANCE DE L'INFORMATIQUE COMME INSTRUMENT DE GESTION DE LA COMPLEXITÉ.
* Chapitre 7. Reconnaissance positive. p. 323.
Section I. <<Au service de>>. p. 324.
Section II. La requalification. p. 334.
Conclusion du chapitre 7. p. 356.
* Chapitre 8. Reconnaissance négative. p. 358.
Section I. La dénonciation de la rationalisation. p. 359.
Section II. L'informatique et ses limites. p. 361.
Section III. L'informatique comme risque. p. 374.
Section IV. Du <<contrôle de gestion>> au contrôle social. p. 386.
Conclusion du chapitre 8 et de la partie 4. p. 393.
* Conclusion du titre II. p. 395.
* Introduction générale du Titre III. p. 398.
* PARTIE V. INFORMATIQUE, POUVOIR ET POLITIQUE.
* Chapitre 9. Le pouvoir, la (dé)centralisation et le politique. p. 420.
Introduction. p. 421.
Section I. Le débat centralisation/décentralisation. p. 432.
Section II. Centralisation. p. 443.
Section III. Décentralisation. p. 447.
Section IV. Le Modèle politique. p. 456.
Conclusion.p. 460.
* Chapitre 10. Maîtrises alternatives et gestion de la démocratie. p. 464.
Introduction. p. 464.
Section I. Le problème (de l'atteinte aux libertés) et ses maitrises non juridiques. p. 468.
Section II. Quid de la perception des limites de la gestion de notre démocratie. p. 480.
Conclusion du chapitre 10. p. 491.
* Conclusion de la partie 5. p. 492.
* PARTIE VI. LES DYSFONCTIONNEMENTS DE L'INSTRUMENT DE GESTION DE LA COMPLEXITÉ ET LEUR MAÎTRISE, PAR LE DROIT, LA SÉCURITÉ ET L'IDÉOLOGIE DE LA COMMUNICATION.
* Chapitre 11. Le droit, la loi et la sécurité. p. 494.
Introduction. p. 495.
Section I. La maitrise juridique et ses limites. p. 496.
Section II. Secret et sécurité. p. 512.
Conclusion duChapitre 11. p. 528.
* Chapitre 12. L'idéologie de la communication. p. 530.
Introduction. p. 531.
Section I. Le paradigme de la communication. p. 534.
Section II. L'idéologie de la communication. p. 544.
Section III. <<Les intellectuels>> et l'inéfficacité critique. p. 560.
* Conclusion du chapitre 12 et de la partie 6. p. 580.